Adopté par l'Assemblée le 2 avril 2013 l'accord national
interprofessionnel (ANI), est
actuellement à l'étude au Sénat. Cet accord, s'il était
transcrit dans la loi, constituerait une régression du droit du
travail, pour les femmes et les hommes. Il créerait davantage de chômage,
davantage de précarité surtout chez les femmes premières concernées par les bas
salaires et le temps partiel non choisi.
Recul des droits des salariés, facilitation du licenciement…
Pour tous, cet accord préparé et initialement conclu par le MEDEF et 3 syndicats salariés dont la CFDT est
dangereux car il implique un recul des droits du travail : il instaure des facilités pour licencier et confère
aux employeurs le droit de diminuer les
salaires en fonction du plan de